Histoire
En 2014 avec un flux important de clients utilisant les téléphones
mobiles comme accès à internet, Google lance l'AMP -Accelerated
Mobile Pages- qui permet de surfer quatre fois plus rapidement grâce à
la désactivation des scripts pullulants sur le réseau internet.
Grâce à cet outil il est alors possible d'aller beaucoup plus vite
sur un téléphone mobile que sur un ordinateur personnel, mais
comme les scripts sont contournés, la sécurité des réseaux
est mise à nue face aux piratage de données et on se retrouve
avec des milliers de clients qui se font pirater les adresses email en général.
La mention HTTPS des sites sécurisés n'apparaît alors plus
dans la barre d'adresse des browsers et les gens n'y prêtent malheureusement
pas attention alors qu'elle est primordiale.
En 2015, Google annonce la sortie de l'AMP.
En 2017, l'AMP entre officiellement en service et fait beaucoup de bruit, surtout à cause de ces énormes failles de sécurités rendant l'exploration d'internet et l'utilisation des réseaux sociaux extrêmement dangereux pour leurs utilisateurs qui se font alors pirater à la moindre occasion.
Dans un même temps, en 2017, les sociétés leaders sur le marché de l'internet brident volontairement l'accès à leurs clients afin d'imposer un élan de la consommation. Grâce à elles, le marché de Microsoft, Apple et des ordinateurs prennent de l'ampleur. Evidement elles y sont aussi gagnantes, certainement en recevant des participations financières de ces monopoles. Sinon elles n'auraient pas besoin de s'y engager volontairement.
On constate que de plus en plus de sites internet qui fonctionnaient très
bien jusqu'alors, imposent majoritairement à leurs clients une obligation
de passer à un logiciel d'exploration internet- browser en Anglais- à
jour. Hors afin de mettre ces logiciels à jour, les clients doivent passer
à un système d'exploitation supérieur et souvent par la
même occasion, changer de plateforme informatique en achetant un nouvel
ordinateur.
Toutes les personnes n'en sont pas financièrement capables, surtout lorsque
leurs machines fonctionnent parfaitement et cela uniquement pour aller visiter
quelques sites internet malheureusement souvent utiles.
Afin de contourner ces restrictions favorisant l'économie en incitant les personnes à acquérir de nouveaux ordinateurs, on se dit naturellement que la solution est l'AMP de Google et effectivement c'est la meilleure solution qu'il soit possible de mettre en place à priori. Car en fait le problème c'est le danger d'utiliser cette technologie.
Heureusement pour nous, d'autres y ont pensés avant et nous pouvons dès à présent mettre en place ces solutions à nos dispositions. Toutes fois notez qu'il faut rester prudent et bien garder à l'esprit que les sites sécurisés SSH, SSL, TLS apparaissent toujours dans la barre d'adresse de sons browser avec la mention HTTPS. Si celle-ci n'est pas visible, la page n'est pas sécurisée et on ne doit pas indiquer de données confidentielles sous risque d'être piraté. Se faire pirater son adresse email est une chose, son compte en banque en est une autre.
Les solutions existantes et sont toujours similairement les mêmes,
c'est Mozilla Firefox qui se place en premier
Pour les utilisateurs Macintosh sous Système Mac Os 8.5.1 à 9.2.2
:
. En 2014 Classilla, browser de Mozilla Firefox, sort sa version 9.3.3 qui
sera finalement définitive.
Les utilisateurs ne sont pas content mais en contre partie, l'explorateur devient
compatible avec presque tous les sites internet, ce qui n'était plus
le cas depuis de nombreuses années et l'on pouvait alors explorer de
nouveau internet avec des ordinateurs des années 1990. La magie c'est
que Classilla 933 utilise un outil similaire à l'AMP de Google et c'est
aussi pour cette raison que l'affichage graphique ressemble à un affichage
de téléphone mobile, ce qui est gênant mais on s'y fait
à la longue.
Il faut néanmoins rester prudent avec les sites sécurisés
comme on l'a vue plus haut.
Pour les utilisateurs Macintosh sous Système Mac Os 10.0 à 10.4.11
:
. En 2014, juste après l'abandon de Classilla, Mozilla Firefox sort
TenFourFox compatible G3, G4 et G5.
TenFourFox utilise les mêmes paramètres que Classilla et est donc
compatible avec tous les sites internet qui utilisent des scripts modernes,
un peu comme l'outil AMP de Google.
Il faut néanmoins rester prudent avec les sites sécurisés
comme on l'a vue plus haut.
Pour les utilisateurs PC sous Système Windows XP :
. En 2014, Mozilla Firefox améliore un de ses outils compatible Windows
mais n'en parle pas, un peu comme pour les deux browsers vu ci-dessus. SeaMonkey
était déjà là depuis quelques années et est
devenu comme par magie compatible comme l'outil AMP de Google, avec la presque
totalité des sites internet utilisant des scripts.
L'une des versions compatible Windows XP est SeaMonkey 2.32.
Il faut néanmoins rester prudent avec les sites sécurisés
comme on l'a vue plus haut.
Dès à présent, il est possible d'utiliser internet sans
restriction sur la plateforme de son choix avec le système d'exploitation
de son choix sans à avoir besoin de changer de système, ni d'ordinateur.
Mais il faut rester très prudent sur les sites utilisant des données
confidentielles en ayant toujours le réflexe de regarder si la mention
HTTPS apparaît bien dans la barre d'adresse de son logiciel d'exploration
internet, browser.